Présentation d'Alice T. Wolf

Identité :

Nom : Wolf

Prénom : Alice, Tempérance

Age : 18 ans

Nationalité / Ville d'origine : Avondale, Arizona, USA

Langues parlées : Français, Anglais, Italien, Hongrois et un peu le Mandarin.

Statut : Elève


Description :

Caractère (Qualités, défauts) : Alice est assez solitaire. Elle apprécie peu la compagnie et est à la limite de l'agoraphobie. Elle trouve la foule oppressante. Elle est aussi trèèèès lunatique. Quand elle commence quelque chose, elle le finit toujours ! Elle déteste que les choses soient faites à moitié et est maniaque à la limite de l'extrême ! Elle est très calme, douce et se met rarement en colère pour des choses inutiles. Mais si vous l'énervez trop... gare à vous ! Elle a souvent été rejeté et traité "d'intello" (Elle a un Q.I. supérieur à 150, ce qui est énorme) et a longtemps été le souffre douleur des gens de sa classe. Aujourd'hui, elle continue toujours d'éviter les gens. Aussi, elle est particulièrement généreuse et à l'écoute de tous. Un peu trop parfois. Elle est extrêmement naïve et croit tout ce qu'on lui dit. Elle n'a strictement aucun sens de l'humour, seulement une blague ne contenant ni blondes, ni grossièretés et ni jeux de mot la concernant la fait rire. Sa patience dépasse toutes les limites ! Elle pourrait attendre plus de deux heures sous la pluie quelqu'un qui est en retard à un rendez-vous !

Description physique : Alice est grande, elle possède un corps svelte et musclé par la G.R.S. qu'elle pratique depuis son plus jeune age et de ses joggings nocturnes quotidiens. Du haut de son mètre soixante dix-sept, elle est parfois plus grande que ses amis. Elle a un teint très pâle, presque maladif. Ses yeux sont d'un bleu pur mais elle porte des lentilles car elle déteste cette couleur, qu'elle tient de son véritable père. Elle possède un nez fin et une bouches aux lèvres charnues. Aussi, sa chevelure est longue et d'une couleur blonde. Parfois elle se teint les cheveux d'une couleur plus foncée, proche de l'ébène. Parfois, ils bouclent légèrement quand ils sont humides. Elle se maquille peu, juste un coup de crayon et de mascara sur les yeux de temps en temps, quand elle sort (ce qui est rare). Ses doigts sont petits et fins. Elle ne porte pas beaucoup de bijoux, seulement une chaine que son père lui avait donné avant de disparaitre, avec un pendentif en argent avec des émeraudes. Elle s'est fait faire un tatouage, poussée par ses amis (qui n'en étaient pas vraiment en fin de compte...). Un papillon noir dans le bas du dos. Elle porte souvent des robes, t-shirt jupe ou une simple tenue composée d'un jean et d'un débardeur. Le plus souvent, elle porte des chaussures montantes comme des converses ou des escarpins, inutiles avec sa silhouette élancé.

Pouvoirs : Le FBI dit que je suis télékinesiste. Wow. Pour dire vrai, ce mot me fiche les jetons. En plus, il ne résume pas tout à fait ce que je peux faire. Ce que je peux faire fait que je suis différente, dangereuse. En effet, je peux faire de drôles de choses sans m'en rendre compte, au final. Ce n'est pas comme dans les films, où les supers héros peuvent bouger des choses par la pensée. Moi, je ne contrôle absolument pas mon don. J'ai même peur de lui. Je ne sais pas comment expliquer ce que je peux faire. C'est comme si... comme si je prenais possession des choses non-vivantes. La dernière fois, c'est un bus que j'ai déplacé uniquement par la pensée. Un bus ! Je l'ai fait basculer sur le côté simplement parce que j'étais énervée ! Résultat : Sept blessés dont deux graves et cinq nuits d'insomnies pour ma part. Mais une chose bien pire c'est passée... Il y a quelques jours, je me suis entraînée à me contrôler. Sans succès, malheureusement... J'avais posé un crayon devant moi. Je me suis fortement concentré, ensuite. Le stylo n'a pas bougé d'un pouce ! Et moi, je me suis retrouvée avec un fort saignement de nez et une migraine insupportable ! Dès que je quittais la pièce, les alarmes de la maison, le téléphone, la sonnette et tous les appareils électroniques s'allumèrent. Je me laissais glisser sur le sol, découragée. En fait, je contrôle les objets sans que j'y pense et ceux-ci se déplacent. Seuls. Parfois, avant que je ne pose ma main sur la poignée de porte, celle-ci s'ouvre toute seule. Ce pouvoir qui peut paraître inoffensif peut causer beaucoup de ravages..


Histoire : Je regardais le chauffeur mettre mes derniers bagages dans le coffre de sa voiture. Lui me fixait d'un regard emplis de pitié. Je devais avoir piètre allure. Mes yeux étaient surement rougis par les larmes et de longues trainées noires devaient joncher mon visage. Je décidais de vérifier. D'un revers de manche, j'essuyais mon visage. Des traces noirâtres se profilaient au niveau des poignets, sur mon pull blanc. De plus, celui-ci était tout déchiré et taché de sang. Je l'enlevais et le donnais à un homme qui voulait le récupérer (sûrement un gars du FBI...). Je regardais ma mère d'un air triste. Un petit "désolée" sortit de ma bouche. Elle me regarda d'un air mauvais et rentra dans la maison. Les larmes coulèrent derechef, je m'installais dans la voiture. Un parfum d'homme y flottait. Le chauffeur s'installa côté conducteur. Je tournais la tête et vis les policier emmener le corps de mon beau-père dans une camionnette blanche, direction la morgue.

-Regarde pas ça, me dit le chauffeur de sa voix douce, tout en tournant ma tête vers le pare-brise.

C'était un homme petit et trapu qui devait avoir la quarantaine. Son sourire se voulait bienveillant, il me paraissait tout de même mauvais et mesquin. Pour moi, ils avaient tous l'air mauvais et mesquin, justement... Cependant, sa voix douce suffisait à me calmer. Il démarra la voiture, je regardais derechef le perron. Personne. Ma mère avait du rentrer. J'allais quitter la chaleur étouffante de l'Arizona pour... l'inconnu ! Je regardais une dernière fois les nombreux pavillons. Sur la route vers l'aéroport, je me souvenais des raisons qui m'avaient subitement poussé à quitter maison, famille et amis sans leur en parler. Tout avait commencé 2 mois plus tôt. Je m'étais levé un beau matin et avait trouvé un homme au rez-de-chaussé. Il connaissait mon nom.

-Oh tu es là Alice, nous t'attendions, vois-tu. Je discutait justement avec tes parents.

Je fusillais du regard Paul, mon beau-père. Je ne supportais pas qu'on dise qu'il soit mon père. Il battait ma mère. Cet homme était un monstre. Je descendais les quelques marches qui me restais tout en fixant me mère d'un air interrogateur. Elle avait un visage calme et serein. Je m'inquiétais derechef. Ma mère qui souriait, c'était forcement qu'il y avait un problème. Avant que je n'ouvre la bouche pour parler, l'homme en costard-cravate prit la parole.

-Oh quel rustre fais-je, s'exclama-t'il en levant les yeux au ciel, je ne me suis même pas présenté ! Je suis Garry Jordan. Je travaille au FBI. Enchanté de faire enfin ta connaissance, Alice.

Il me tendit une main que je ne saisit pas.

- Qu'est-ce que le FBI fiche ici ? demandais-je, agacée que Garry ne m'en dise pas plus.

- Je suis ici pour ton pouvoir. Je sais tout ce que tu peux faire. Je sais aussi que tu ne te contrôle pas.

Je le fixais, inquiète que mon don soit révélé au grand jour.

- Vois-tu, continua-t-il, nous avons un homme, dans notre service, qui s'appelle Andrew Cole. Il a vingt-quatre ans et travaille pour nous. Il y a quelques années, la Pacific Corporation l'a capturé puis l'a utilisé comme cobaye humain. Ils lui ont administré un virus. Aujourd'hui, il a un don, comme toi. Il peux retrouver des gens. Il travaille au FBI pour retrouver des gens disparus. Le principe est simple. On lui donne une carte de l'Amérique, par exemple, puis pose une question. Alors, il montre du doigt l'endroit exact où la personne recherchée se trouve. Ça ne fonctionne pas toujours. Je lui ai demandé de chercher une personne ayant été contaminé par le virus mis en place par la Pacific Corporation. Et tu sais ce qu'il m'a répondu ?

Je hochais la tête de droite à gauche.

-... "Alice Wolf, Lawrence Boulevard, Avondale". Chez toi, plus précisement.
Mon coeur s'affola dans ma poitrine. Je me serais cru dans un film d'horreur, ou dans un très mauvais cauchemard. Je me pincais le bras et sentit une brulure vive. Je ne rêvais pas.

- Tu sais Alice, nous avons un endroit spécialement concus pour les gens comme toi. Ils ont tous ton age. C'est une université, dans le Nevada. Là-bas, il apprennent aux personnes contaminés par le virus à contrôler leur pouvoir et à se sentir normaux, si je puis dire... Tu y serais bien...

Et moi, j'avais refusé. L'homme était parti, laissant une carte de visite, certain que je cèderais. Il avait eu raison. Maman l'accrocha sur le frigo puis je retournais seule dans ma chambre pendant quelques jours. Ces deux derniers mois, je ne parlais plus, ne travaillais plus et mangeais peu. Chaque jour était devenu une torture. Ce qui m'avais vraiment décidé à partir, c'était ce qu'il s'était passé la veille, au soir. Quand j'étais rentré de mon jogging nocturne quotidien, j'avais retrouvé ma mère en pleurs devant la maison. Un nouvel hématome apparaissait sous sa pommette et elle avait l'air effrayé. J'entrais dans la maison, folle de rage. Un air d'opéra raisonnait dans la maison. Bach. Je filais vers la cuisine. Paul était là, un verre de vin à la main. Toute la pièce empestait l'alcool.

- Qu'est-ce que tu as fait à maman ? demandai-je, hurlant, les larmes aux yeux.

Il me regarda d'un air vide puis partit dans un fou rire. Le verre qu'il tenait, la fenêtre de la cuisine et la lampe au plafond explosèrent en même temps. Ma vision se brouilla, la douleur dans ma tête s'amplifia et je me laissais tomber sur le sol. Sa mort, c'est tout ce que je souhaitais. Je m'assis finalement sur le carrelage, à bout de forces. Tous les tiroirs s'ouvrirent. Des couteaux tranchants en sortirent. Je m'endormais, doucement. La dernière chose dont je me souvient, c'est les cris de Paul, et le bruit de métaux entrechoqués. Quand je me suis réveillée, je baignais dans une marre de sang et mon pull était couverts de taches rouges-brunes. Je regardais furtivement ma montre. 04h12.

-Maman... soufflais-je en l'apercevant, je te promets que...

Je ne put continuer. Des agents du FBI et de la CIA arrivèrent quelques minutes plus tard, m'incitant à faire mes bagages. Et maintenant, j'étais dans une voiture, direction l'aéroport de Phœnix. La circulation était peu abondante et nous arrivâmes bien vite. Le chauffeur s'occupa de mes bagages pendant que je me rendais aux toilettes. J'étais épuisée. De grands cernes violacés jonchaient sous mes yeux. Je passais de l'eau sur mon visage. Les traces noirs disparurent. Quand je revenais dans le grand hall, mes cinq grosses valises entouraient le petit homme. J'aperçus une femme en costume près de lui. Elle s'approcha de moi et m'expliqua se qu'il allait se passer.

-Bonjour Alice, j'imagine que tu dois te sentir perdue. Je suis Miriam Granger, je serais ton accompagnatrice durant le voyage. Si tu as des question, c'est à moi que tu dois les poser. Je vais t'expliquer en quoi consiste le trajet. Un avion du FBI va te conduire dans le Nevada. Ensuite, un hélicoptère te conduira à River Hall. Par mesure de sécurité, nous devrons te bander les yeux. Suis-moi, tu es attendue.

Je la suivis sans broncher. Je me sentais vide. J'essayais de ne pas penser à ma mère, à ce que j'avais fait à Paul. On me fit grimper dans la cabine. J'avais horreur des avions !! Pourtant, quand je fus dans la petite pièce, une atmosphère apaisante régnait. Ça me calmait aussitôt. Un rouquin, qui devait avoir mon âge, me regardait d'un air malin. Une jeune fille blonde, assise à côté de lui, leva légèrement le nez de son livre pour me scruter puis retourna dans sa lecture passionnante. Je m'asseyais en face d'eux. Miriam m'expliqua qu'ils possédaient eux aussi des dons. C'était surement ça, la "douce atmosphère". Trop épuisée pour parler, je m'endormais avant le décollage de l'avion. Quand je me réveillais, nous étions sur la terre ferme. Je descendit de l'avion et mon accompagnatrice me banda les yeux, comme prévu puis m'emmena dans un hélico. Les autres prirent deux hélicoptères différents. Finalement, ils décollèrent en même temps. Le trajet ne fut pas très long mais me parut durer une éternité. Il faisait noir et je n'entendais que les pales de l'hélico fouetter le vent. De plus, il faisait chaud. Très chaud. Nous perdîmes enfin de l'altitude puis j'entendis le bourdonnement qui s'atténuait peu à peu. Un homme radieux m'enleva le bandeau puis s'exclama :

-Hé, je suis Tom Crowley, un des professeur de l'université. Bienvenue chez toi !

Je regardais autour de moi et découvrais un paysage somptueux. River Hall était immense, et de grande montagnes aux neiges éternelles l'entourait. Personne ne me laissa le temps de reprendre mes esprits, ils m'emmenèrent aussitôt dans ma chambre avec un "tu passeras à l'accueil quand tu te seras installé, tout te sera expliqué, je t'ai donné un plan". Des hommes baraqués s'occupèrent de mes bagages. La chambre était encore plus belle que tout le reste. Il y avait un lit immense, une salle de bain prestigieuse (avec des draps de bain qui sentent bon le mimosa) et même une télévision à écran plat ! Je m'assis sur le lit et regardais l'université par la fenêtre. Ma nouvelle université...


IRL :

Prénom : Mégane (Je suis Ema Walthers et Ben-Barnes sur des forums donc si ça vous dit quelque chose...)

Comment trouvez-vous le forum ? : Magnifiquement-fabuleusement bien fait ^^ (Normal puisque j'en ai fait une grosse partie xDD)

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Star de l'avatar : Kristen Bell